Notre dame de Paris
Fidèle refuge
Qui s’impose à nous
Titille notre foi et suscite l’intérêt des sciences
Par ses vitraux majestueux
Elle se fond dans la nature
Qu’elle défend au nom
De celui qui l’a créée
Elle décline ses couleurs
Sur un fond de saisons
Qui changent suivant
L’inspiration destructrice de l’homme.
La nature est réparatrice de tout grief
Car la seule grille que l’humain ait instaurée
Est la peur d’être condamné
A une vie d’automate consumée
Et qui disparaît en un écran de fumée.
Vivre et trépasser sans susciter le moindre intérêt est une pensée qui nous submerge dans nos heures sombres. Souvent nous essayons de penser à ce que nous pourrions apporter à cette terre qui nous autorise à être colocataire.
Servons-nous vraiment l’intérêt de notre planète dans des guerres ou des paix éphémères ? Savons-nous quelle est la foi qui nous anime ou la science qui nous passionne ?
Pourquoi la science et la croyance ne pourraient s’associer pour trouver des réponses qui nous laisseraient espérer un avenir plus tolérant et en meilleure santé.
Autrefois les philosophes traînaient dans des boudoirs bondés d’écrivains où de futurs médecins pouvaient échanger sur leurs idées sans pour autant les brimer.
La tolérance s’acquiert soit disant avec la sagesse au fil du temps pourtant les réflexions de maintenant sont tout de suite décriées et humiliée par le manque d’ouverture d’esprit des penseurs qui n’ont que peu de clairvoyance, aveuglés par la gloire que qu’on leur fait.
Les échanges de pensées sont les seuls moyens de parvenir à une unité et qui sait tout ce que cela peut guérir et renforcer la foi en la création de l’univers.
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